Le marché des oeuvres d'art à st Nazaire

Un imposant travail, le da Vinci quiz   d’un centre culturel

Parlons des œuvres d’art qui représentent le défi lancé à la compréhension, donc à l’explication. Il faut bien avouer que les productions réalisées sur commande échappent quelque fois au rationnel donc à l’explication, est-ce la défaite du savoir ? de la raison ? ou du simple bon sens ?

Pour faire bref voici un coup de projecteur sur les approches culturelles d’une petite ville. Que penser de ces spectacles qui doivent leur apparente universalité bien souvent au fait qu’ils soient soutenus par une institution et qu'ils apparaissent, à tort bien souvent, comme d'heureuses concordances.

Je me laisse aller à l’abandon, émerveillée face à la singularité du genre et à un certain désarroi face à l' obstination à commander toutes ces merveilles du monde.

Voyons ce qui se passe à St Nazaire, petite ville au bord de la mer pendant cette saison : 

Autour des résidences, c'est l'expression convenue.

(entendre : accueil des artistes pendant le temps de création).

Un créateur parmi d'autres : Guy Alloucherie

Un titre Base 11/19

C’est l’histoire d’un cirque théâtralisé dans un univers d’ouvriers là où la reconversion d’un site minier devient une fabrique de spectacles.

 A bon entendeur, l’avenir est assuré dans les arts du spectacle, pensez-y «  c’est la lutte finale »……

Un autre nom Stanislas Cotton

Un autre titre : Bureau National des Allogènes

Une pièce belge qui s’inspire de l’immigration clandestine. Les protagonistes ne sont pas racistes, c’est ce qu’ils disent car ils sont beaucoup plus malins, ils sont des types bien pensants…. Cela est écrit pour la présentation du spectacle.

J’arrête là et comme dit Flaubert : On n ‘écrit pas ce qu’on veut.