Il était une fois le Caire
Bien sûr que ce n’est pas le sphinx au clair de lune
Plongé dans l’ombre il est transfiguré et ses traits se recomposent par la magie lunaire mais à quelques enjambées c’est l’agitation de la capitale et il est bien difficile, c’est vrai, le nez en l’air de regarder ce qui reste des jolies architectures.
Avec une chance labyrinthique vous trouverez la bonne terrasse où une tente vibrera au vent d’est et où les quelques tziganes joueront pour vous des airs mélancoliques.
Bof, allons-y pour la mélancolie !